Olivier Ramel, Co-fondateur de Kymono
Olivier Ramel, co-fondateur de Kymono, a créé une entreprise leader sur son marché. À travers cet article, nous allons voir les différents projets et expériences qui l’ont mené à créer son entreprise Kymono tout en nous penchant sur cette dernière et son activité.
De l’étudiant entrepreneur à co-fondateur de Kymono
Olivier Ramel a réussi à créer une entreprise à succès, nous allons donc nous intéresser à son parcours fascinant qui l’a mené à lancer Kymono.
Les premières expériences entrepreneuriales d’Olivier Ramel
Olivier Ramel, est né à Paris dans un cadre familial idéal, entouré de ses deux parents, il vit une enfance équilibrée dans un bel appartement parisien. Sa mère étant avocate et son père ingénieur, Olivier n’a jamais manqué de rien et son enfance était heureuse.
À l’école, il bavardait souvent, n’était pas le meilleur élève, mais n’était pas le pire non plus. Il ne s’amusait pas en faisant ses devoirs, mais avec ses camarades de classe en jouant sans être insolant ni un cancre. Olivier avait un vrai potentiel, mais ne faisait pas vraiment d’efforts, l’école n’était pas sa priorité, il voulait profiter. Son père très rigoureux était fréquemment derrière son dos pour qu’il travaille sans que cela soit néfaste.
Olivier était très sportif et a fait tous les sports possibles, que ce soit le basket, le roller, le skate, le ping-pong ou encore le volley et la danse. Il aimait le sport et sortir avec ses amis, faire des activités.
Arrivé en seconde, Olivier se pose beaucoup de questions sur le futur et se rend compte qu’il aime beaucoup le commerce, qu’il est attiré par le business. Entre la fin du collège et le lycée, il organise des soirées parisiennes pour les jeunes entre 14 et 18 ans, ayant lieu de 19 h à 23 h. Il a beaucoup aimé cette expérience qui lui a beaucoup appris et sait qu’il aime créer des projets.
Par la suite, il redouble sa terminale en échouant aux rattrapages de son bac ES. Il se lance dans un nouveau projet et crée le sweat de son lycée en gérant la production, la négociation avec la direction, les bons de commandes, le SAV, etc. Il gère tout cela sans réseaux sociaux, en faisant des pitchs devant les classes. Tout ce projet dure un an, projet qu’il apprécie énormément réaliser et à travers lequel il apprend énormément de choses.
Après avoir obtenu son bac, Olivier Ramel entre à l’ESCE à paris. Au cours de ses années à l’ESCE, il fait des voyages, des soirées et de nombreuses rencontres. Il voulait réitérer sa vente de sweat qu’il a confié à sa petite amie de l’époque toujours au lycée, lui n’étant plus au lycée. La vente fonctionne moins bien, mais a quand même de bons résultats et c’est la dernière fois qu’elle a lieu.
Il rejoint le Bureau des étudiants en créant une équipe avec ses amis et se retrouve vraiment dans ce projet. Il se passionne réellement pour l’organisation et la communication, Olivier se retrouve à organiser des tournois de beer pong, devient ambassadeur de la BPFA (Beer pong, french academy) et organise des soirées durant son temps libre.
Pour en savoir plus sur l’entrepreneuriat, découvrez notre article sur « Comment construit l’e-réputation de son entreprise ? »
Du jeune étudiant entrepreneur à co-fondateur de Kymono
Olivier Ramel part six mois en Erasmus aux Pays-Bas et y vit une expérience incroyable où il rencontre des personnes de toutes nationalités. De plus, les Hollandais ont un vrai état d’esprit d’entrepreneurs, ce qui lui donne encore plus envie d’entreprendre et il commence à se mettre dans le même état d’esprit.
Il effectue un stage dans une startup étudiante nommée Casual Campus, qui vend des vêtements qualitatifs pour l’école. Ayant déjà une expérience similaire dans ce domaine, Olivier était intéressé de continuer. En 3ᵉ année, il fait un stage de six mois, et voulait connaitre l’environnement des grandes entreprises en rejoignant le grand groupe Phillips, en tant que CRM assistant. Cependant, ce stage ne lui plait pas trop, il ne voyait pas l’utilité du stage, la vie des gens ne lui donnait pas envie et il s’est dit qu’il ne voulait plus jamais faire ça.
Il réalise des petits projets au cours de ses études, en majeure partie dans l’évènementiel et il continue avec un Master entrepreneuriat. Durant ce master, il réalise un semestre à l’étranger aux États-Unis à Boston, où il vit le rêve américain. Olivier rejoint l’équipe de basket de l’université, fait beaucoup de sports et vit dans une maison avec huit Américains. Avec ses colocataires, il organise des soirées et se conforte dans l’idée qu’il voulait monter une boite en rentrant à Paris.
Olivier souhaite lancer une application qui ne voit pas le jour pour plusieurs raisons, mais bien que ce projet ne vienne pas à bout, il est déterminé à entreprendre. Ainsi, avec l’un de ses meilleurs amis, il lance une entreprise qui vend des boissons relaxantes et apaisantes, dans des bouteilles réutilisables. Les boissons sont réalisées avec des plantes naturelles et ils trouvent le nom de “Ilow”.Pour se financer, ils lancent un crowdfunding, réalisent une grande campagne de pub et se rendent compte qu’il faut énormément d’argent pour le marketing, pour investir, etc. Finalement, leur projet se fait racheter par une entreprise portugaise pour quelques centaines de milliers d’euros.
Par la suite, Olivier Ramel ne cesse d’entreprendre et monte avec un ami La Récolte, un concept où ils se rendent sur les campus pour proposer aux étudiants de composer leur salade de fruits. Ainsi, en un jour, ils vendent pour 3 000 € de cash, ils réitèrent et font le double. Ils continuent alors de faire ça tous les mercredi et l’activité se développe dans 20 établissements en IDF. Olivier se retrouve à réaliser son 3ᵉ stage dans sa propre entreprise et cela devient la meilleure expérience de sa vie.
Avec La Récolte, il n’y avait pas vraiment de différenciation des concurrents. Cependant, Olivier voulait de la différenciation et il décide de s’associer avec une entreprise. Cette association crée une nouvelle entreprise se nommant Mooty. Ils sont présents dans les centres commerciaux, gares, aéroports et dans tous les endroits où il y a du monde. Le concept grandit en proposant du sucré et du salé. Au bout d’un an, Olivier Ramel ne se sent plus épanoui et revend ses parts à son associé.
Après cela, Olivier décide de rejoindre une entreprise, car il n’a pas d’idée d’entreprise à créer. Il rencontre alors l’entreprise The Family qui aide les startups à se lancer et parle de ses premiers projets, avec lesquels ils accrochent. Il se décide de monter une boite avec un ami sur The Family et une semaine après, ils signent et en mars 2017 nait Kymono.
Pour en savoir plus sur la prospection, n’hésitez pas à lire notre article sur « Qu’est-ce que l’inbound Marketing ?«
Son entreprise Kymono
Olivier Ramel, co-fondateur de Kymono, a mené de nombreux projets à travers lesquels il a appris de nombreuses choses avant de lancer cette entreprise à succès. Nous allons nous intéresser à cette entreprise qui a su s’imposer sur son marché.
Présentation de Kymono
Lancée en mars 2017 après plusieurs mois de préparation avec l’aide de The Family, Kymono appartient à un marché concurrentiel. En effet, le marché du textile et plus particulièrement des goodies connaît beaucoup de concurrence. Il leur a donc fallu se différencier de leurs concurrents en réalisant des produits et services personnalisés en Europe afin que les entreprises aient une culture forte.
À son lancement, Kymono a reçu 400 demande de devis et un premier client pour 3 000 €. Ils se sont rapidement revendiqués culture designers. Au fil du temps, ils ont développé plusieurs offres et accompagné plus de 10 000 équipes.
Kymono a aujourd’hui une grande visibilité, est très connue dans l’univers du textile et ne cesse de grandir.
Les produits de Kymono
- Les vêtements : Kymono propose des vêtements comme des sweatshirts, T-Shirts, blousons, polos, chemises, ou encore des sacs et accessoires. Simples, ils sont customisés aux goûts des clients en fonction des couleurs, logos, etc.
- Les objets : De nombreux objets sont personnalisables comme des mugs, des gourdes, objets de bureau, technologiques, etc.
- Les enseignes : L’entreprise propose des enseignes de plusieurs matières et matériaux différents en fonction du choix du client.
Les services de Kymono
- Le studio : Ce service permet de créer une identité visuelle et des collections sur-mesure aux entreprises grâce à une analyse des tendances et de la marque.
- L’aménagement de bureaux : Kymono conçoit des espaces sur-mesure reflétant l’image de l’entreprise, cela permet aux clients d’avoir un environnement de travail agréable à proposer à leurs équipes.
- Conseils en culture : L’entreprise conseille ses clients afin qu’ils construisent une culture unique et impactante.
Olivier Ramel, co-fondateur de Kymono : conclusion
Vous l’aurez compris, Olivier Ramel est ambitieux et n’a cessé d’avoir et de mener des projets au cours de sa vie. Tout cela l’a conduit à Kymono, qui montre l’expérience d’Olivier à mener à bien des projets et ses talents d’entrepreneurs.
Olivier ne cesse de développer son entreprise en l’étendant à l’étranger, en proposant de nouveaux services et produits et en accompagnant de nouveaux clients.
Nous espérons qu’Olivier Ramel, co-fondateur de Kymono vous a inspiré à travers son parcours et motivé à monter votre propre business !
À propos de cet article
Cet article a été rédigé par l’équipe de Webstratege.co.