C’est quoi un community manager ?
Vous voulez tout savoir du métier de community manager ? Commencer à étudier dans ce domaine ? En faire votre métier ? Quelles études faire pour devenir community manager ? Quel est le salaire d’un community manager ? C’est quoi un community manager ? Sur cet article, vous allez tout savoir. Écrit par 4 étudiants dans le cadre d’un projet universitaire. Vous trouverez toutes les informations que vous cherchez. C’est de moins, l’article le plus complet d’Internet sur le sujet. Bonne lecture.
1) C’est quoi un community manager ?
1.1) Le contexte d’émergence d’un nouveau métier…
Les réseaux sociaux sont des plateformes qui ont changé notre mode de vie : acheter et communiquer sur le web ont permis l’émergence de nouveaux métiers tel que Community manager (CM). Ce métier très récent datant de 2009, est vite devenu incontournable pour les marques et les entreprises. C’est un métier attractif.
1.2) Concrètement, c’est quoi un community manager ?
Le Community manager est le représentant d’une marque, d’une société, d’un produit ou même d’une personnalité sur le média internet. Il est considéré comme le porte-parole des décideurs en interne (dirigeants, actionnaires.) et celui de la marque envers les clients.
Le rôle du Community manager est donc la gestion permanente de l’image et de la notoriété d’une organisation. C’est l’ambassadeur de la marque qui communique le message de l’entreprise vers l’extérieur et fait part à l’entreprise de la réaction de sa communauté.
1.2.1) Community manager, une profession encore hétérogène
Cette profession est cependant très hétérogène et les fonctions sont très variées. En effet, elles dépendent de la position sur le marché de l’entreprise ainsi que de la taille de cette dernière ainsi que de son secteur d’activité.
Plus explicitement, un gestionnaire de communauté de grande enseigne internationale de luxe n’aura pas les mêmes missions que s’il travaillait dans une entreprise locale.
Le rôle du Community manager diffère également en fonction de son niveau d’intégration à l’entreprise, ainsi que s’il travaille en free-lance, en agence ou chez un annonceur.
1.2.2) Quelles sont les missions du community manager ?
Ce métier consiste à fédérer, animer et à fidéliser le maximum d’internautes autour d’une marque de manière à créer une communauté conviviale. Une pleine problématique de webmarketing donc.
Pour animer constamment sa communauté, le Community Manager doit effectuer une communication à 360° via les forums, les réseaux sociaux et les réseaux professionnels. Le rôle stratégique du Community manager consiste donc à parler et à faire parler d’un sujet particulier.
De manière à agrandir cette communauté et donc à développer la visibilité de la marque ou d’un produit, le professionnel a quatre missions principales :
- Mettre en place du contenu
- Communiquer et animer la communauté
- Pratiquer une veille informationnelle
- Assurer un rôle de modérateur
La mise en place du contenu et l’animation de la communauté
Le Community manager adapte son contenu en fonction des directives qu’il reçoit : il peut proposer des contenus « chauds » (liés à l’actualité) ou des contenus “ froids » (déconnectés de l’actualité).
La mise en place de ce contenu digital par le Community manager se fait par la rédaction et la création d’images, de vidéos, de podcasts ou d’infographies.
Il est le principal manager du dispositif web de l’entreprise. Il est donc obligatoire de connaître parfaitement l’intégralité des particularités de tous les réseaux sociaux et professionnels sur lesquels agir ainsi que leurs changements courants. La passion du Community manager pour les technologies lui permet d’être au courant de toutes les nouvelles tendances numériques.
Le community manager et les réseaux sociaux
Voici une liste des réseaux sociaux classés par ordre de fréquentation :
Facebook se place en 1ère position, il est sans aucun doute le réseau de prédilection du Community manager depuis une dizaine d’années.
Instagram, TikTok, Twitter, LinkedIn et YouTube viennent ensuite.
Snapchat arrive presque en fin de liste : en effet les internautes préfèrent désormais visionner les stories Instagram et Facebook.
Pinterest et Viadeo sont les réseaux les moins prisés par les internautes
L’utilisation des contenus viraux et des hubs
Le Community manager doit régulièrement atteindre des objectifs afin d’assurer la visibilité d’un produit, d’une entreprise, d’une personnalité ou d’une marque auprès des réseaux. Pour cela, il utilise des contenus viraux et des Hubs dont les compteurs (nombre d’abonnés /commentaires.) sont mesurés chaque jour. Les hubs sont des appareils reliés à plusieurs machines permettant de concentrer les données pour les transmettre par un unique canal.
Méthodes de communication et d’animation de la communauté :
Pour mener à bien ses objectifs et garantir la meilleure interactivité avec sa communauté, le Community manager utilise diverses méthodes de communication. Ce sont les actions de Web marketing qui permettent le recrutement, l’animation et la fidélisation d’une communauté,
On peut retrouver parmi ces méthodes d’animation des communautés :
- Publier des d’images virales véhiculant une idée implicite
- Publier de conseils
- Partager des devinettes
- Promouvoir des contenus internes tel que des vidéos ou des slogans
- Faire des partenariats, animer des débats
- Organiser des concours ou des rencontres « in real life ».
Avoir une relation avec des blogueurs du même secteur d’activité est également nécessaire pour s’informer ou pour relayer de l’information ou des opérations spéciales.
Le community manager et la veille informationnelle
Le Community manager doit assurer une veille sur internet ; pour cela il faut être à l’écoute des communautés et effectuer un bilan de la réputation de la société (e réputation) : c’est une veille informationnelle et concurrentielle.
La création de liens entre les utilisateurs et la marque est ici primordiale pour d’un côté diffuser les conseils et le catalogue de l’entreprise et de l’autre faire remonter les remarques négatives de l’entreprise vers les services concernés (« reporting »). En effet, le Community manager doit scruter en permanence les sites, forums, blogs en rapport avec l’activité de son entreprise et extraire les informations importantes. Grâce à des outils plus performants en « data intelligence » et « social listening », il met ensuite en place des tableaux de bord.
Le community manager, un modérateur pour la communauté
Face au nombre d’avis échangés entre consommateurs sur le net et la menace que représentent les réseaux sociaux et autres rassemblements d’internautes sur le numérique, le Community manager joue également un rôle de modérateur en surveillant les échanges. On dit qu’il gère les « User Generated Content », c’est-à-dire le contenu généré par les utilisateurs.
En conséquence, pour maintenir le respect de l’éthique et éviter tous éventuels problèmes (crises, critiques, bugs.) le Community manager instaure un dialogue avec les internautes en répondant aux questions sur les blogs, réseaux et forums. Cela permet de proposer par la suite un plan d’actions le plus rapidement possible et à moindre coût.
1.2.3) Quelles sont les règles légales dans le métier de community manager ?
Enfin le Community manager doit aussi appliquer des règles de bonne conduite au sein de la communauté. Il y a certains protocoles à respecter tel que la confidentialité des données personnelles (respect du RGPD) ou encore le respect de la Nétiquette (règles informelles de politesse recommandées par les médias de communication).
1.2.4) Le métier de community manager est-il fait pour moi ?
C’est un métier qui demande beaucoup d’habileté, de diplomatie et de réactivité. Il faut savoir gérer toutes les compétences demandées (marketing, relations publiques, SEO..) en réussissant à les délimiter selon le sujet traité.
Les qualités et compétences attendues pour être Community manager sont :
– Le sens de l’écoute, le sens du contact, l’empathie
– Une culture générale solide, une ouverture d’esprit
– Rigueur, autonomie, diplomatie, esprit d’équipe
– Qualités rédactionnelles
– Compréhension des enjeux économiques de l’entreprise
– Maîtrise des nouveaux médias, des réseaux sociaux, des outils web marketing
– Capacité d’analyse et de synthèse à l’aide d’outils de mesures
– Connaissance des techniques de veille et de recherche
– Notion de design
2) Quelles études faut-il faire pour devenir community manager ?
Dans cette partie, nous traiterons du cheminement pour arriver au métier de Community manager. Les études et le cursus à suivre, les écoles à intégrer…
Pour ce faire, il nous faudra répondre à plusieurs questions :
Quelles études dois-je faire ?
Faut-il préconiser un bachelor (3 ans) ou un master (5 ans) ?
Quelles écoles dois-je intégrer ? Toutes les écoles délivrent-elles des diplômes reconnus ?
Si je dois aller dans une école loin de mon lieu d’habitation, suis-je prêt (e) à être autonome ?
Quels seront les coûts pour ma scolarité ? Des aides existent-elles pour intégrer des écoles ? Ces dernières sont-elles payantes ?
Toutes ces questions sont source d’inquiétude chez les étudiants et nous tenterons d’y répondre le plus clairement possible en passant dans un premier temps par un descriptif complet des études à suivre. Dans un deuxième temps, nous aborderons une mise en situation concrète.
2.1) Quelles formations existe-t-il ?
Les cursus possibles pour devenir Community manager sont divers et variés.
Il n’existe pas encore de voie toute conçue pour accéder à ce métier.
Les formations exclusivement dédiées au « social média marketing » sont peu courantes.
Il existe des formations en 2 ans (DUT, BTS) qui proposent des formations à ce métier. Mais la tendance est plutôt d’engager des personnes ayant au moins un bachelor ou une licence (bac +3). Les recruteurs recherchent aussi des masters.
Les différents diplômes des community managers
Niveau bac +2 :
- Le BTS communication
- Le BTSMCO (Management Commercial Opérationnel)
- Le BTS NDRC (négociation et digitalisation de la relation client)
- Le DUT MMI (métiers du multimédia et de l’internet).
- Le DUT TC (technico-commercial) (qui sera bientôt le BUT TC)
Niveau bac +3 :
- Licence pro en E-commerce et MKG numérique (parcours divers)
- Licence pro en métiers du numérique : conception, rédaction et réalisation
- Parcours Technologie de l’Information et de la Communication pour l’Animation des réseaux sociaux numériques (TIC ARC) on le retrouve notamment à l’IUT de Nantes
- Licence pro en métiers de la communication : chargé de communication
- Parcours chargé de communication « offline » et « online ».
- Diplôme INA : documentaliste multimédias, gestionnaire de médias et de données.
Niveau bac +5 :
- Diplôme d’école de commerce (on y reviendra plus tard) : Nice (EDHEC, SKEMA), Marseille (KEDGE), Paris (Europeans Business School)
- Diplôme IEP + formation en communication online
- MBA en MKG digital
- Diplôme d’école de communication, de MKG, de relations publiques, de journalisme
- Institut d’études politiques : Lyon, Toulouse
Les formations en distanciel :
De nos jours, on peut tout à fait envisager de se former au métier de Community manager en distanciel à l’aide d’outils en ligne nous permettant d’acquérir certaines compétences spécifiques (savoir mettre en place une stratégie digitale adaptée, lancer une campagne publicitaire, apprendre à rédiger comme il se doit pour le web ou encore savoir créer des visuels attractifs à l’aide d’outils à disposition comme Adobe Illustrator ou Photoshop). J’en profite pour vous dire que j’ai produit sur mon site un cours en ligne pour vous expliquer comment vous développer sur Instagram. Cliquez juste ici pour le consulter.
2.2) Comment faire concrètement pour devenir community manager ? (Voici un exemple concret)
- Mise en situation (hors période Covid-19) :
Je suis un futur jeune diplômé du baccalauréat envisageant d’exercer plus tard le métier de Community manager.
Plusieurs choix s’offrent à moi : intégrer un DUT TC, un BTS… puis intégrer une école pour atteindre un master ou une formation spécialisée en communication, ou alors intégrer dès la sortie du lycée une école privée.
Prenons l’exemple d’un cursus pour préparer un « BBA ».
Un « BBA » est un diplôme (Bachelor Business Administration) que délivrent certaines écoles de commerce. L’EDHEC ou encore l’INSEEC le proposent notamment.
Ces écoles sont particulières, car elles font partie des rares établissements qui sont accessibles via la plateforme Parcoursup.
Notre choix se porte sur l’école de l’EDHEC, dont le site est situé à Nice (ils ont un deuxième campus à Lille).
L’EDHEC délivre un BBA, qui permettra de se spécialiser dans la voie qui nous intéresse : le digital (communication digitale).
Il faut savoir que le simple fait de s’inscrire au concours d’entrée à cette école est payant (100€ et 50€ pour les élèves boursiers), il y a des pré- sélections sur dossier puis des épreuves écrites et orales. Il s’agit de la procédure du concours PASS.
La question du prix se pose : 15 300€ est le coût moyen d’une année d’étude dans cette école. Face à cela, existent des bourses délivrées par l’EDHEC : la bourse d’excellence permet une déduction de 3 700€ sur le coût de la première année. Cette bourse peut être portée à 8 180€ si l’étudiant obtient la mention Très Bien au bac.
La bourse sur critères sociaux existe aussi à l’EDHEC, sous conditions de ressources et permet d’assurer la mixité sociale au sein de l’établissement.
A l’issue de notre BBA, nous devons nous spécialiser en master 1 et 2 dans la branche qui nous intéresse. À cela s’ajoutent des cours en 4ème année, en anglais ; la langue doit alors être maîtrisée.
- Comment choisir entre un cursus via une école privée de commerce et un cursus universitaire ?
Hormis le prix, le défaut de certaines écoles de commerce sont les diplômes délivrés, pas toujours reconnus par l’État. Qu’est-ce que cela implique ? En fonction de nos opportunités d’emplois, certaines ne vont pas reconnaître notre niveau d’études.
Il est donc judicieux, avant d’intégrer une école, de vérifier l’agrément « certifié par l’État ».
Toutes les écoles n’ont pas les mêmes certificats internationaux (Visa, Labels RNCP, EQUIS, AMBA, EPAS). Les labels qualité sont importants pour juger une formation à l’échelle internationale.
Être en école de commerce nécessite donc des sacrifices : Le coût est élevé, 15 000€ en moyenne par année.
Si l’on doit déménager de l’habitation familiale, il faut un porte-monnaie supplémentaire (nous pouvons bénéficier d’aides telles que les APL ou les aides du Crous sous conditions de ressources). Nous devons aussi devenir plus autonomes.
D’autres voies quasi gratuites sont aussi possibles.
Si nous décidons d’intégrer un DUT TC notamment, puis d’intégrer par la suite une école de commerce, cela est tout à fait possible, et nous fait économiser deux années de formation soit près de 30 000€.
Nous pouvons même rester après le DUT dans le cursus universitaire et intégrer un IAE (Institut d’Administration des Entreprise) qui est une formation peu coûteuse pour les étudiants.
Les IAE proposent une voie adaptée pour la formation de Community manager : la communication digitale.
Nous pouvons citer comme principales différences entre le cursus en école de commerce et le cursus universitaire, la renommée de certaines écoles de commerce et le réseau professionnel qu’elles offrent aux étudiants.
En somme les deux voies apportent les mêmes connaissances et compétences La finalité est la même, la différence se trouve essentiellement dans le coût.
3) Community manager, le marché de l’emploi
3.1) L’offre et la demande
Le métier de Community manager est en plein essor grâce aux nouvelles technologies et au développement des réseaux sociaux. Il est donc peu probable d’assister à une disparition du métier. Les entreprises recherchent de plus en plus de Community manager car elles prennent conscience de leur rôle stratégique dans l’organisation.
Cependant ce métier qui est en développement depuis peu de temps est confronté à un déséquilibre entre l’offre et la demande (ex : à Paris, 416 demandes pour 4 offres).
3.2) Les types de contrat du community manager
Ces dernières années, le Community manager a été de plus en plus adopté au sein des entreprises. Sur le graphique on peut voir que le métier de Community manager constitue principalement un poste stable : plus de 58% des community managers ont un CDI.
3.3) Quel est le salaire d’un community manager ?
Un Community manager salarié peut gagner entre 19 000 € et 40 000 € bruts par an selon : les tâches confiées, le nombre d’années d’expérience, les diplômes, la taille de l’entreprise (grande entreprise internationale, ETI, TPE, PME, agence), le type de contrat (CDD, CDI, indépendant), le lieu d’exercice (région parisienne, province)
Généralement aucun Community manager ne perçoit le même salaire car leurs fonctions varient selon les sociétés, il n’existe donc pas de fiche de poste type.
De plus dans certaines entreprises, des avantages peuvent être proposés tel que les primes sur objectifs, les tickets-restaurant, les commissions, qui ne sont pas compris dans le salaire du Community manager.
Un Community manager indépendant (free-lance), lui, est rémunéré la plupart du temps à la journée ou au forfait. Il intervient principalement à temps partiel dans des entreprises qui n’ont pas besoin de Community manager à temps plein (souvent les petites entreprises).
Il touche environ entre 100 et 400 € lorsqu’il facture à la journée. Cependant, les indépendants ne bénéficient pas des avantages des salariés tel que les cotisations chômage, la mutuelle. Ils doivent payer des cotisations sociales plus élevées que celles des salariés.
3.4) Comment trouver un emploi de community manager ?
Informations concernant le département des Bouches du Rhône :
Le meilleur moyen de se faire embaucher par une société reste, en 2019, les candidatures via un site internet d’offres d’emploi (29% des community managers recrutés sont passés par ce modèle-là).
En revanche, on peut remarquer que l’approche directe est une approche très peu utilisée pour rechercher un emploi. Seulement 7% des CM recrutés sont passés par une approche directe.
3.5) Un métier avec des disparités géographiques
On peut voir que le marché est différent en fonction des villes et des départements : le marché est plus tendu à Paris avec 1 seule offre pour 10 demandeurs d’emploi en moyenne sur les 12 derniers mois. On peut aussi voir que les salaires bruts mensuels diffèrent : entre 2 250€ et 10 300€ pour les plus de 35 ans à Paris contre 1 800€ à 7 800€ pour les plus de 35 ans dans le département des Bouches du Rhône.
L’Île-de-France est la région qui concentre le plus de Community manager (31%). Dans cette région, le taux d’emploi concernant ce métier a évolué de +2,8% depuis 2 ans avec 4469 salariés dont 58% sont des femmes. De plus, 363 embauches sont envisagées dans les années à venir.
3.6) Où travaillent les community managers ?
Le métier de Community Manager a d’abord été développé principalement dans des agences, des startups et dans le secteur des high-techs. En agences (communication, digitale, marketing, publicité…) ils sont désormais présents principalement au sein de cellules » Social media »
Le Community management concerne des entreprises variées comme les ETI, PME et TPE. Il était réservé jusqu’à présent aux entreprises en « BtoC » mais se développe désormais en « BtoB ».
La profession de Community manager est exercée dans différentes structures : principalement chez l’annonceur (53%), viennent ensuite les agences de communication (20%) puis les institutions publiques (18%).
Concernant la répartition des Community manager dans les entreprises privées, la majorité exercent auprès de PME avec un taux de 51% puis 21% dans les ETI et 19% dans les TPE. Seulement 10% des Community managers travaillent dans de grandes entreprises de plus de 5000 salariés.
3.7) Quelques informations complémentaires sur le métier
- Plus de 2 Community managers sur 3 sont des femmes (72% VS 69% en 2019). Cela montre qu’en un an la profession s’est davantage féminisée.
- L’âge médian des Community managers est de 28 ans
64 % d’entre eux ont moins de 30 ans
4) Conclusion
Merci d’avoir lu cet article. Comme vous pouvez le constater, le métier de community manager est bien plus complexe qu’on ne le pense. Néanmoins il offre de belles perspectives à l’avenir.
Si vous avez besoin d’une agence webmarketing pour développer votre activité, vous pouvez nous contacter via cette page -> contact
Cet article à été rédigé par l’équipe de Webstratege.co.